J’aurais pu commencer d’un simple « je t’aime »
Et puis me contenter de prétendre mon amour
Mais même s’il y’avait un mot si simple, sans détour
Je t’écrirais des milliards de myriades de poèmes
Ton amour ne vaudrait-il pas tout l’or du Monde?
Alors si les images valent bien mille mots
À travers mes textes, je te ferai voyager en secondes
Nous ferions le tour, du fond marin au sommet le plus haut
Ton amour ne vaudrait-il pas tout l’or des Rois?
L’or sud-africain, et l’ivoire zaïrois
Ton cœur me mets si bien, en émoi
Si bien que je créerais tout un royaume pour toi
Ton amour ne serait-il pas le diamant d’Afrique?
La grandeur des pays de l’Amérique
De l’immensité du continent d’Asie
Ton cœur est si grand, d’Europe, à l’Océanie
Ton amour ne serait-il pas une bénédiction?
Une caresse, si douce sur mon cœur
Cette douceur, n’est-ce donc pas une fiction?
Une fiction à laquelle j’abstrais mes peurs
Je t’aime, mais parfois je me mets des doutes
Et si parfois, donc, je faisais fausse route?
Tant mieux, je pourrais faire, pour toi, plus de détours
Je braverais les milles pour toi, ô mon amour
Ton amour, dans le fond, c’est un peu comme une lanterne
Quand mon chemin s’égare, c’est lui qui m’emmène
Même si je ne sais pas où on s’en va
L’important c’est que tu sois là, ô toi, la maestria
Voici donc, je t’offre mes plus beaux vers
Pour prouver que je t’aime, à toi mon cœur
Pour que tu puisses faire le tour de la Terre
Et pour qu’on le chante en chœur