Un cri strilent émerge d’entre le feuillage vert
Là où les rayons solaires vont s’écraser pour mourir
Après avoir gracieusement illuminé la mare aride
Au dessus de laquelle battent les outardes aux ailes guêpières
Les rats aux queues de cures-pipes ratissent le parc
À la recherche des réserves égarées de leur hiver dernier
En petits bonds, avec l’élégance de leurs sauts en arcs
Pour éviter les dents-de-lions jaunies bourgeonnées
La vie vit avec vibrance dans ce paysage idyllique
La chaleur s’accouple au vent de façon magique
Le printemps invoque en moi un éclair lyrique
Mais une tache entache ma joie : une bouteille en plastique